La slow cosmétique, nouvelle tendance de consommation

Lorsqu’on se penche sur les étiquettes des produits de notre salle de bain, il y a de quoi être effrayé. Conservateurs, parabènes ou autres composants chimiques ont d’ailleurs été au centre de plusieurs polémiques ces dernières années. Face à cet afflux de produits chimiques, la slow cosmétique prend une place de plus en plus importante dans nos vies.

La naissance du mouvement

Ce mouvement militant et international est apparu en 2012. Julien Kaibeck, enseignant en aromathérapie en France et en Belgique, est son créateur. Il considère que la cosmétique a une place centrale dans la société et qu’elle a des impacts économiques, psychologiques et écologiques importants pour nous. En créant ce concept de slow cosmétique, le jeune Belge apporte aux nombreux consommateurs qui le souhaitent, les moyens de s’engager vers une cosmétique alternative. Cette nouvelle expression est liée au terme de slow-food. Ce phénomène apparu il y a un peu plus de 25 ans, consiste à se nourrir de manière plus saine, plus écologique et plus éthique.

La slow cosmétique quant à elle se base sur quatre grandes valeurs. Elle doit être raisonnable, intelligente, humaine et écologique et s’inscrit donc dans une démarche de développement durable.

logo slow cosmétique

La science de la nature au service de notre corps

L’objectif de la slow cosmétique est de répondre uniquement aux besoins de la peau, des cheveux ou encore des ongles. A l’inverse, la cosmétique traditionnelle crée sans cesse de nouveaux besoins. En fait, cette nouvelle vision de la cosmétique optimise les connaissances que nous avons sur la nature pour les mettre au service de notre corps. Le fondateur du mouvement apporte aux adeptes de la slow cosmétique des informations sur les ingrédients naturels, leurs propriétés, leur efficacité, la manière dont on peut les utiliser et profiter de leurs vertus. Tandis que les produits de la cosmétique industrielle comportent beaucoup de substances chimiques dangereuses, controversées ou allergisantes, ceux de la slow cosmétique sont composés d’ingrédients d’origine naturelle, très souvent issus de l’agriculture biologique et non testés sur les animaux. Ces ingrédients naturels dont combinés pour optimiser leurs bienfaits sur notre corps mais aucun additif chimique n’est ajouté. Pour diffuser toutes ces informations, Julien Kaibeck utilise principalement internet et les réseaux sociaux. Il publie régulièrement des vidéos et des articles sur son site internet essentiellement et sur les réseaux sociaux.

Un véritable choix de consommation responsable

Comme nous avons pu le dire précédemment, la slow cosmétique c’est le choix de consommer autrement et c’est une autre vision de la cosmétique et de notre société. Non seulement, la slow cosmétique utilise des ingrédients naturels pour les produits cosmétiques, mais elle dénonce la publicité agressive et le green washing* pratiqué par les marques traditionnelles du secteur cosmétique. De plus, en répondant uniquement aux besoins de la peau, des cheveux ou des ongles, elle s’oppose aux pratiques de la société de consommation qui visent à consommer sans cesse du superflu. Julien Kaibeck a d’ailleurs crée une véritable communauté autour de toutes ces thématiques.

EquiTerre France engagée dans la slow cosmétique

A EquiTerre France, nous avons aussi de nombreux projets liés à la slow cosmétique.

Au sein de notre « Ruche qui dit Oui » de Chamalières, vous avez par exemple la possibilité d’acheter des produits cosmétiques responsables de nos producteurs. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de la Ruche.

En parallèle, nous sommes en train de développer un projet de boutique solidaire et éthique. Nous souhaitons notamment proposer des produits cosmétiques responsables et des ingrédients pour fabriquer vous-même vos propres cosmétiques. Vous pourrez donc vous fournir dans notre boutique  prochainement.

image boutique

Aussi, vous pouvez déjà vous obtenir vos produits cosmétiques responsables directement auprès de notre association à travers le projet « Savons la planète ». Nous proposons en effet des ateliers d’autoproduction de savons.

A travers ceux-ci, nous avons pour objectif de diminuer l’impact nocif des gels douches sur notre santé et sur l’environnement. Nous voulons aussi offrir à chacun des solutions pour se laver à l’aide de savons aux ingrédients naturels et simples, faciles à produire soi-même et surtout efficaces et sains pour notre peau.

*green washing : procédé marketing utilisé par une organisation dans le but de se donner une image écologique responsable

 

 Déborah Adoh

Publié dans Actualités de la consommation responsable, La ruche qui dit oui de Chamalières, Savons la planète! | Marqué avec , , , , , , , | Un commentaire

La Fourch’ette voyageuse au Chili

Après la Nouvelle Zélande et ses élevages gigantesques, Anaëlle et Romain traversent le Pacifique pour poser leurs bagages au Chili. A Santiago, la capitale, ils découvrent les marchés et la cuisine locale.

1

La viande est, ici aussi, très présente, et se mange par grosses portions (300 à 400 grammes par personne !). En bons apprentis-cuisiniers, ils apprennent à confectionner les traditionnels empenadas, des petits chaussons farcis à la viande. Sur l’île de Chiloé, ils rencontrent ensuite Lorna, qui a ouvert son restaurant pour sauvegarder le patrimoine culinaire et ses savoir-faire ancestraux. Elle travaille avec des producteurs locaux et accueille ses clients dans un lieu qui ressemble à sa maison. Après ces aventures gastronomiques, retour au wwoofing pour le couple français, qui s’installe dans une grande maison traditionnelle, tout en bois et chauffée par plusieurs poêles. Tenue par deux sœurs, Gicella et Andréa, la ferme a vocation à s’agrandir et à accueillir des touristes. Les activités sont très variées : préparation du futur verger, plantations d’arbustes pour délimiter les parcelles, élevage de bovins et d’ovins. C’est d’ailleurs la période d’agnelage et les voyageurs assistent le père de famille pour assurer leur bon déroulement ! Ici, tous les membres du foyer ont leur place et leurs tâches, y compris les grands-parents qui s’occupent de la basse-cour et des vaches. Quand le temps ne permet pas de travailler dehors, tout le monde s’assoit au coin du poêle et file la laine. En vivant au rythme de la famille chilienne, Anaëlle et Romain découvrent aussi leurs habitudes culinaires : un déjeuner copieux, un dîner composé de pains et de petits accompagnements, et beaucoup de maté, cette boisson issue d’une herbe locale dont la tasse munie d’une paille filtrante tourne autour de la table.

Les deux français séjournent ensuite avec Lucio et sa famille dans une ferme laitière de 180 vaches, issues de croisement entre trois races, ce qui assure du lait de bonne qualité en quantité importante, et une certaine homogénéité au sein du troupeau.

Troupeau

Vêlage, repas des veaux à l’aide de biberons, préparation de la nourriture des vaches, Romain et Anaëlle participent à de nombreuses tâches et apprennent l’ingénierie de l’industrie laitière. Rien n’est laissé au hasard, ni le moment du vêlage contrôlé à l’aide d’hormones, ni les rations des vaches à base de de céréales et de minéraux, savamment calculées en fonction de la période (lactation, mise bas…). Grâce au climat relativement clément et aux sols sableux qui limitent la formation de boue, les vaches sont au pré toute l’année.

Après ce séjour Chilien, les globe-trotteurs partent pour une escapade imprévue en Bolivie !

Carlotta Denis

Publié dans Tourisme Responsable | Marqué avec , , , , , | Laisser un commentaire

[Clermont Ferrand ] Projection-débat « Palme: une huile qui fait tache »

L’huile de palme est un produit de notre quotidien qui soulève de nombreuses polémiques.

Afin de faire de la lumière autour de ce débat épineux, EquiTerre France organise à l’occasion de la 9ième édition du Festival AlimenTerre une projection suivie d’un débat autour de l’huile de palme et de ses impacts sur l’Homme et l’environnement.

AFFICHE JPEG

Les participants seront accueilli avec des animations ludiques avant la projection du film qui sera suivie d’un débat animé par les bénévoles d’EquiTerre France. L’objectif du débat sera celui de creuser certains axes des impacts de l’huile de palme grâce à l’intervention de spécialistes de divers secteurs (santé-nutrition, environnement, économie internationale) et d’échanger sur les solutions possibles de consommation responsable à appliquer au quotidien.

Bannière festival Alimenterre

Nous vous attendons nombreux pour échanger de manière constructive autour de l’huile de palme:

rdv le 24 octobre

à 18h00

au café Lecture les Augustes

5, rue sous les augustins à Clermont Ferrand

ENTREE LIBRE

Publié dans Actualités de l'association, Commerce équitable, Environnement, Evénements 2015 | Marqué avec , , , , , , , | Laisser un commentaire

FORUM DES ASSOCIATIONS CLERMONT FERRAND 26 SEPTEMBRE

Les bénévoles d’EquiTerre France vous accueillent avec leur sourire et leur bonne humeur sur le stand d’EquiTerre lors du forum des association de Clermont Ferrand le :

toute la journée

du samedi 26 septembre

au menu des animations autour de nos projets et des informations sur l’association et les projets en cours!

Forum des assocations CF 2015

Publié dans Actualités de l'association, Bons Plans et Evènements | Marqué avec , , , , | Laisser un commentaire

La Fourch’ette voyageuse en Nouvelle Zelande!

Après le Japon, Anaëlle et Romain ont pris leur envol vers la Nouvelle Zélande et ont posé leurs bagages à Auckland, avant de partir pour Waiheke Island et y pratiquer le wwoofing (pour « world wide opporunities in organic farms ») : un système qui permet de travailler dans des fermes biologiques en échange du gîte et du couvert. Là, ils passent de ferme en ferme et découvrent l’agriculture et l’élevage kiwis. Ils s’initient à la permaculture et à ses activités : planter des arbustes pour préserver le terrain, déposer du compost et de la paille sur le sol, ou encore associer des plants complémentaires.

nouvelle-zelande

Ils prêtent ensuite main forte pour la cueillette des feijoas près d’Hastings, sur une grande propriété qui pratique aussi l’élevage de bœufs et de moutons. Ce sont petits fruits verts qu’on ramasse après avoir secoué les arbres qui les portent. L’agriculteur en produit 40 tonnes chaque année, puis les vend à une fabrique qui les transforme en jus, smoothies et boissons pétillantes.

C’est ensuite au Nord de Wellington que les globes-farmers s’arrêtent, chez John et Pip qui élèvent des vaches laitières. Jusqu’à 300 vaches ! C’est en fait la taille d’un cheptel moyen en Nouvelle Zélande (contre une cinquantaine en France). Les races bovines, Jersiaise et Frigen, ont été choisies pour la qualité et la richesse de leur lait.

Le troupeau passe toute l’année au pâturage, car le climat néo-zélandais assure la pousse d’une herbe de bonne qualité en toute saison. D’ailleurs, 90% du territoire agricole du pays est consacré à la pâture. La production est à la fois vendue directement aux consommateurs (lait cru) et à une laiterie. Romain et Anaëlle en profitent pour faire le plein de lait qui leur avait manqué en Asie, et apprennent que la Nouvelle Zélande est le premier exportateur mondial de produits laitiers.

Côté fourchette, le couple assure très bien manger, mais sans beaucoup de surprises. La gastronomie Néo-zélandaise n’existe pas vraiment et les mets sont majoritairement similaires à ceux qu’on trouve au Royaume Uni ou aux Etats Unis, mais Romain et Anaëlle dénichent un plat traditionnel Maori sur un marché : le Hangi. Ce plat de viande et de légumes se cuit dans un trou creusé à même le sol, dans des sacs garnis d’aromates qui sont enfouis près des braises pendant plusieurs heures. Goût fumé garanti !

machine-a-pain

De leur long périple en Nouvelle Zélande, nos voyageurs retiendront l’hospitalité des fermiers, l’omniprésence de l’élevage et des produits animaux dans les assiettes, et la saveur de la viande d’agneau rôtie !

Carlotta Denis

Publié dans Tourisme Responsable | Marqué avec , , , , , | Laisser un commentaire

La rentrée de la Ruche de Chamalières!

Les vacances touchent à leurs fin et la La Ruche qui dit Oui de Chamalières ! est de retour après la pause estivale!
Deux semaines pour faire votre choix
Dès le 24 août les ventes sont ouvertes afin de vous permettre de découvrir ou de retrouver les produits du terroir auvergnat. Exceptionnellement, vous aurez deux semaines pour faire votre choix parmi les produits proposés.
Une rentrée animée
La première distribution de la rentrée aura lieu le

7 septembre

de 16h30 à 18h30

au Cook Up Café
6, rue Amélie Murat
à Chamalières.
DSCN0083Pour fêter la rentrée de la Ruche de Chamalières, les bénévoles d’EquiTerre France vous attendent avec de nombreuses animations pour grands et petits. Les producteurs eux aussi seront au rdv et vous feront déguster leurs produits.
N’hésitez pas à venir accompagnés lors de cette distribution. Petits ou grands, vous serez les bienvenus !
Et très bientôt, nous organiserons un atelier culinaire à partir de produits de La Ruche. Affaire à suivre….
.
.
Déborah Adoh
Publié dans Bons Plans et Evènements, La ruche qui dit oui de Chamalières | Marqué avec , , , , , , , | Laisser un commentaire

Portrait producteur: C’est Fée Bio

Au cours des visites lors de notre recherche de nouveaux producteurs, nous avons rencontrés Sonia Berbon de « c’est Fée Bio » dans sa boutique traiteur.

Elle confectionne de délicieux plats et pâtisserie uniquement à partir d’ingrédients bio, frais et de saison pour vous régaler la Ruche Qui Dit Oui de Chamalières ! Elle crée, repense, innove pour régaler au mieux nos papilles.

Nous avons beaucoup apprécié sa démarche notamment son attachement aux produits frais, locaux et bio. Chez « C’est Fée Bio » la quantité ne prime pas sur la qualité de ses produits. De plus elle se dit elle-même : « intéressée depuis longtemps par les modes alimentaires alliant gourmandises, bien-être et respect de l’environnement ». Totalement en adéquation avec les valeurs que souhaite véhiculer notre Ruche, nous n’avons pas hésité à la solliciter et nous sommes ravis de pouvoir la compter parmi nos producteurs responsables!

C est fee bio

Publié dans La ruche qui dit oui de Chamalières | Marqué avec , , , , , , | Laisser un commentaire

Portraits producteurs : Ferme des 4 Chabras

Nicolas est Maria Fourvel nous ont accueilli avec bonheur sur leur exploitation caprine à Laps.

Maria est une jeune agricultrice qui a démarré son activité avec 3 chèvres enFerme des 4 Chabras 2013. Après une longue période de passage de diplôme, de démarches administratives, nous avons pu ressentir à travers les échanges avec elle le bonheur et la passion qui l’anime de pouvoir enfin exercer cette activité. Maria et Nicolas sont vraiment passionnés par leur activité et sont très attachés à leurs chèvres et à leur bienêtre : ils les connaissent par cœur !

La passion et l’amour pour leur activité transparait dans leurs sourires et le respect des leurs animaux : à la ferme des 4 Chabras les chèvres se baladent librement sur l’exploitation et leurs cornes sont laissées pousser car comme dit Nicolas : « Elles ont assez de place pour ne pas se blesser, ceux qui liment leur cornes c’est qu’ils les gardes longtemps attachées, du coup elles se battent et elles se blessent. Nous nous n’avons pas ce genre de problèmes! »

Si vous souhaitez en savoir d’avantage sur les méthodes de productions durable de Maria et Nicolas venez les rencontrer lors de nos distributions à la Ruche qui dit Oui! de Chamalières

Publié dans Actualité des projets, La ruche qui dit oui de Chamalières | Marqué avec , , , | Laisser un commentaire

Food Sense Tour en Bolivie!

De longues heures d’attente, de stress et de transport ont été subi avant la tant attendu arrivée à Santa-Cruz, Bolivie.

Ici, les filles ont pu rencontrer Daniel, le président de la Fundaciòn Progresso: la plus grande fondation d’entrepreneuriat social en Bolivie. Échange de contacts et prise d’information de la situation du secteur sont de mise pour se mettre à la page avant le départ pour la douce capitale Sucre. Après une nuit de bus agitée (les chauffeur sud américains semblent être fervents pilotes de course…), le matin illumine la capitale et accueille les voyageuses épuisées. Filles

Repos puis visite de musées, avant de rejoindre Potosi 150 km plus loin, à 4824m d’altitude. Et qui dit altitude, dit baisse des températures (les plages de Rio doivent sembler loin d’ici), pull et bonnet en laine de lama sont le nouvel attirail (local) de ce voyage.

Les jours suivant, le Hélène, Marion et Maud partent en expédition d’une petite semaine dans le sud de la Bolivie à la rencontre de paysages uniques: le Sud Lipez, région désertique et volcanique des Andes Boliviennes, le fameux désert de sel (le plus vaste du monde) de Salar d’Uyuni, puis Tupiza, ancienne ville minière nichée dans une vallée de montagnes rouges. Cette aventure leur a permis de faire la rencontre de 4 Suisses, lama, flamant roses et Boliviens aux remèdes ancestraux.

Bolivie 1

Direction Cochabamba, centre Bolivie pour une rencontre avec WASCARWascar dans sa ferme écologique, afin de pouvoir découvrir, changer et aider ce passionné d’agro-écologie. L’idée à l’origine de la ferme est de montrer concrètement aux habitant de la communauté de Toco qu’une production soutenable sans produits chimiques est possible.

Ce fût aussi l’occasion d’assister à la fête des mères version Boliviennes. En effet, la tradition est de rendre hommage aux disparues, et ainsi, les festivités (ambiance musicale, tenues colorées, sucreries, boissons locales) se déroulent dans le cimetière municipal.

Puis, cap à l’Ouest, proche de La Paz et du lac Titicaca, à Achocalla, pour retrouver Stanislas, émigré Belge depuis 36 ans, et son entreprise éco-sociale Flor de Leche.

On sort la faucille pour le flor de lecheramassage à l’ancienne du blé, puis le filles ont goûté à l’activité d’une fromagerie, pour le plus grand plaisir de Maud et Hélène qui apprécie le contact – si attendu – avec le lait caillé et parfumé. Et pour clore ce chapitre, le Food Sense Tour organise leur spécialité : le fameux « Hold-up » et le tournage d’une vidéo qui a pour objectif de promouvoir et encourager les entrepreneurs à s’orienter vers un projet éco-social, sur le modèle de Flor de Leche. En effet, il est important de montrer aux autres que ce genre de projet est un investissement viable et qui s’harmonise avec une éthique environnementale et sociale.

La route se poursuit à La Paz, à la Casa de los Ningunos, pour un séjour culinaire aux petits oignons. En effet, cette Casa à la i_cualquiera-pude-ser-un-ninguno_26205particularité d’être une demeure communautaire, sensible à l’alimentation saine et développement durable. Le but de cette mission est de mettre la main à la patte pour animer le lieux avec des supers idées, contre un toit agréable peu cher! Au programme: la cuisine! Le premier service propose un repas conscient pour 60 personnes. Cette cuisine simple est basée sur une alimentation végétarienne, saine et bon marché. Marion portera fièrement le tablier de sous-chef pour satisfaire les convives, et Maud et Hélène se convertisse en responsable de salle. Succès. Le deuxième service propose une discoooo-soupe! Accompagné l’équipe de choc de la Casa (responsable repas, chef cuisinier, et amigos) au grand marché de La Paz, Le Food Sense Tour a réussi à récolter plus de 60 kg de fruits et légumes en moins d’une heure, belle performance, et aussi belle générosité des mamitas (vendeuse fruits et légumes). Ainsi, tous les ingrédients sont réunis pour une disco soupe de folie, avec une ambiance garantie!

Disco sopa

Morgane Leider

Publié dans Tourisme Responsable | Marqué avec , , , , , | Laisser un commentaire