La Fourch’ette voyageuse en Bolivie et au Perou!

Après le Chili, direction La Paz avec Romain et Anaëlle qui ont décidé de passer quelques semaines en Bolivie avant leur prochaine étape.

Ce pays n’ayant initialement pas été prévu dans leur itinéraire, il leur est plus difficile de rencontrer des producteurs et agriculteurs. Ces quelques semaines seront davantage touristiques, alors que la fin du périple se rapproche. Les curiosités ne manquent pas, comme le marché dit « des sorcières », où les voyageurs trouvent des objets rituels magiques du peuple Aymara, à l’instar des fœtus de lama séchés qui apportent la bonne fortune et la protection de la Pachamama, la Terre-Mère. Ils parcourent également les marchés et les restaurants familiaux à la découvertes des spécialités culinaires du pays: la sopa de mani, une soupe à base de cacahuètes, ou encore les saltenas, version bolivienne des empanadas.

Les globbe-trotteurs visitent ensuite le célèbre Salar d’Uyuni, désert de sel où ils croisent des troupeaux de lamas, élevés pour leur viande.

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A Sucre, les voyageurs poursuivent leurs découvertes gastronomiques et goûtent des fruits inconnus, comme le maracuja et le chérimole.

Sur la plus grande île du Lac Titicac, l’Isla del Sol, Anaëlle et Romain découvrent des paysages préservés de l’industrie touristique et s’intéressent à l’agriculture traditionnelle. Ici, les peuples Quechua et Ayamara vivent d’artisanat, de pêche et d’agriculture sur des terrasses aménagées, ce qui représente un défi sur une île dont le point culminant est à 4000 mètres d’altitude ! Sur cette île sans véhicule, tous les travaux agricoles se font à l’aide de mules.

Au Pérou, ils découvrent de nouvelles viandes, comme l’alpaga et le cochon d’Inde. L’alpaga est l’animal d’élevage phare : très rustique, il dégrade peu les pâtures et limite la croissance de la végétation sauvage. Sa viande est nutritive et peu grasse, et sa laine et sa peau seront également utilisés.

De passage à Arequipa, Romain et Anaëlle suivent un cours de cuisine dans un restaurant, et découvrent l’agriculture traditionnelle en périphérie de la ville, avec ses champs et ses troupeaux de moutons. En se promenant de marchés en restaurants, ils goûtent les spécialités locales, et en premier lieu des pommes de terre, dont de très nombreuses variétés sont présentes sur les étals et les menus.

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Pour la fin de leur voyage, ils séjournent chez des particuliers qui louent des chambres, ce qui leur permet de partager la vie quotidienne des familles. Une belle expérience qui termine un beau voyage, riche de rencontres et de découvertes culinaires !

Carlotta Denis

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