Premier évènement d’EquiTerre à Clermont Ferrand!

IMG-20141027-WA0021Samedi matin l’équipe d’EquiTerre a fait sa première à Clermont Ferrand!

 

Lors du forum « Changeons d’Art’Gens » nos bénévoles ont rencontré de nombreux acteurs engagés sur le territoire clermontois et échangé avec le public autour du projet « Savons la Planète! » d’EquiTerre.

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Entre un débat et une table ronde, EquiTerre a pu parler également de sa campagne de crowdfunding (financement participatif) pour financer l’achat de matériel et l’organisation d’ateliers d’autoproduction de savons et lessives responsables : un moyen concret de faciliter l’accès à la consommation responsable à tous!

 

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Pour nous soutenir: participez à notre campagne participative!

Des contreparties

« savonneusement gourmandes vous attendent !

N’hésitez pas à partager!

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1ère campagne de crowdfunding : « Savons la planète !»

Il y a quelques mois, EquiTerre a développé un nouveau projet de consommation responsable, le projet « Savons la planète! » .

A travers ce projet EquiTerre propose de sensibiliser les citoyens sur l’impact de l’huile de cuisson usagée, de la lessive et du gel douche classiques sur l’environnement en proposant des alternatives responsables accessibles à tous.

L’action de sensibilisation se développe sur trois volets:

  1. Revalorisation de déchets : l’huile de cuisson est utilisée pour la production de lessive écologique.
  2.     Réalisation et vente de savons écologiques à partir d’ingrédients biologiques, équitables et/ou locaux.
  3. Organisation d’ateliers de création de lessive et savon responsables.

Afin de financer l’achat du matériel et des produits de bases requis à la mise en place de ces ateliers

ImageNOUS AVONS BESOIN DE VOUS !

EquiTerre, fidèle à ses valeurs, a démarré une collecte de fonds sur le site de financement participatif Pick&Boost afin de réaliser notre projet « Savons la Planète ! ».

Du 8 octobre 2014 au 6 janvier 2015

Rendez-vous ICI

De quoi s’agit-il?

Impliquée dans la protection de l’environnement et lutte contre de surconsommation, EquiTerre souhaite proposer au grand public des ateliers de fabrication maison de produits d’hygiène et ménager écologiques et responsables. Les ateliers proposent notamment de réutiliser les huiles alimentaires usagées en lessive et de fabriquer ses propres savons 100% responsables et écologiques.

Pourquoi ?

Le but de ces ateliers est de proposer une alternative concrète et ludique à l’utilisation de produits chimiques et de sensibiliser les participants à la consommation responsable. Pour réaliser ce projet nous avons besoin de matériel, et pour cela, nous avons besoin de VOUS !

Comment soutenir ce projet?

Soutenez et participez à notre campagne de financement participatif sur la plateforme Pick&Boost et découvrez les contreparties de votre soutien !

Alors, parlez-en autours de vous, participez à notre campagne et contactez-nous pour plus d’informations !

NOUS COMPTONS SUR VOTRE MOBILISATION !

Rendez-vous du 8 octobre 2014 au 6 janvier 2015

sur http://www.pickandboost.com/

Pour découvrir le projet

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Les Nomad’2.0. au Pérou

Après leur périple en Équateur fort en sensations, nous retrouvons Laetitia et Alex au Pérou pour 1 mois de découvertes au cœur de l’ancien empire Inca. La rencontre avec ce territoire chargé d’Histoire et ses habitants aura encore été l’occasion pour nos Nomad’2.0. d’expérimenter de nouvelles activités sportives et culinaires et de découvrir de nouveaux moyens de voyager autrement.

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 La première ville qu’ils visitent est Trujillo, ville au Nord du Pérou appelée « Ciudad de la Eterna Primavera » (« Ville du Printemps Éternel ») en raison de ses températures printanières tout au long de l’année. Dès leur arrivée nos voyageurs entrent en contact avec la culture et la civilisation pré-colombiennes : Trujillo est en effet entourée de ruines des cultures « Moche » et « Chimou » et compte de nombreux sites archéologiques dans ses environs dont le plus connu abrite les ruines de la ville pré-inca de « Chanchán ».

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 Si le trekking et les balades ont rythmé les étapes précédentes d’Alex et Laetitia, le Pérou ne fait pas exception et leur permet même sandboardingde découvrir de nouveaux paysages tous plus fascinants les uns que les autres. Le trek de la « Laguna 69 » près de Huaraz les conduit après 5h de marche jusqu’à un lagon bleu situé à plus de 4700 mètres d’altitude. A Huacachina ils en profitent pour faire une escapade dans les dunes en buggy qui leur offrira leur première expérience de « sand-boarding ». Les Nomad’2.0. savent maintenant dévaler les pistes ensablées en surf et continuent leur parcours forts de ces nouvelles sensations. Les sensations et émotions sont aussi au rendez-vous à Nazca où Laetitia et Alex ont pu survoler le désert en avion et admirer les 8 géoglyphes mondialement connus.

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Machu PicchuL’étape suivante leur permet non seulement de renouer avec la culture et la civilisation Inca mais aussi de tester différents moyens de voyager autrement. Nos voyageurs décident de rester presque 2 semaines à Cuzco située au cœur de la cordillère des Andes à 3400 m d’altitude et ancienne capitale de l’empire Inca. Ils en profitent pour visiter la vallée sacrée, un trek de 4 jours les mène jusqu’à la cité de Machu Picchu.

 

 

A Cuzco Laetitia teste le tourisme culinaire : le « restaurant école » de Fredy, chef de la « Peruvian cooking class » accueille les voyageurs pour  leur faire découvrir les traditions et la culture péruviennes à travers la nourriture et la cuisine. L’avantage de cet atelier est que le chef accompagne les apprentis cuistots au marché San Pedro pour acheter les produits qui seront utilisés pour la confection du menu et leur donne de nombreuses informations sur les modes de production et de culture des produits régionaux et Cookingnationaux qui caractérisent Cuzco et le Pérou. Le cours de cuisine en lui-même est également ponctué de diverses anecdotes sur l’origine des recettes et l’histoire de la cuisine péruvienne. Un voyage culturel et pour découvrir le Pérou autrement.

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Dans un esprit plus axé sur le tourisme solidaire, Alex et Laetitia ont eu l’occasion de dormir à l’hostel « Caja Mágica » qui a la particularité de soutenir le projet « Cooperarperu ». Partant du constat que le tourisme est en constante augmentation aux alentours du Machupicchu mais que ce développement ne bénéficie pas aux communautés indigènes locales dont les ancêtres ont contribué à construire l’histoire, les responsables de la « Caja Mágica » ont décidé d’aider ces communautés de manière directe en s’impliquant et soutenant des projets destinés aux enfants de ces communautés. « Cooperaperu » caja magicadéveloppe des actions en matière d’éducation, de santé et de développement communautaire pour les enfants de la communauté de Tankarpata pour renforcer les capacités de cette population de manière coopérative et volontaire. Si vous partez comme volontaire pour l’association, l’hostel la « Caja Mágica » dispose de chambres réservées offertes par l’association. Et sinon, comme nos Nomad’2.0., contribuez en tant que voyageur en payant votre hébergement plutôt dans cet hostel que dans un hôtel traditionnel !

Et pour en savoir plus sur les aventures des Nomad’2.0 visitez leur site internet : http://nomad2-0.com!

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“ Baby-consommateurs” : la communication environnementale sur les aliments pour enfants

“ Baby-consommateurs” : la communication environnementale sur les aliments pour enfants

L’alimentation est l’une des principales sources d’anxiété et préoccupation des parents. La période du sevrage et de l’introduction d’aliments solides est particulièrement marquée par les doutes et les perplexités.

Que faut-il penser face aux rayons débordant de produits pour bébés ? Comment interpréter de manière critique les messages publicitaires ? Peut-on faire confiance au pédiatre qui conseille les petits pots au lieu du « fait maison », ou aux marques proposées par les revues ?

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Il est important de rappeler aux parents que depuis une quinzaine d’années, une stricte réglementation européenne protège les bébés consommateurs. Les premiers travaux en ce sens, qui ont inspiré la normative 2006/141/CE, remontent à l’avis de 1996 du Comité scientifique de l’alimentation humaine (aujourd’hui EFSA : European Food Safety Authority). La normative définit les teneurs minimales et maximales des composantes nutritionnelles telles que les protéines, les gras, les glucides, les sucres, les minéraux et ce pour chaque catégorie d’aliments (produits à base de viande, de poisson, de lait, de fruits, …).

Du point de vue de la sécurité, la directive prévoit les limites maximales des résidus de pesticides, qui doivent être proches du zéro. Pour d’autres substances toxiques comme les métaux lourds, tels que le plomb, le cadmium, les mycotoxines, les aflatoxines, les ochratoxines, la patuline, le règlement cadre CE n. 1881/06 fixe les limites tolérées dans les matières premières destinées aux aliments pour bébés.

[…] La directive européenne règle non seulement la production et la commercialisation des aliments pour l’enfance, mais aussi la communication marketing.

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Lorsque l’on choisi les aliments pour les enfants, ont peut faire confiance aux grandes entreprises produisant ces aliments, qui ont fait de la publicité leur principale force.

D’autre part, il existe des associations qui utilisent différents moyens d’informations (sites internet, social réseaux, …) pour fournir des informations sur les alternatives à l’industrie alimentaire. Un exemple est l’association Baby Consumers. Ces acteurs sociaux mettent en garde les citoyens vis-à-vis de la publicité et du marketing trompeurs, qui peuvent donner une fausse impression de la sécurité des aliments industriels pour bébés. Ils demandent également toujours plus de rigueur dans les contrôles de ces aliments.

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La confrontation entre les promoteurs et les détracteurs des aliments industriels, se joue sur le terrain de l’information et de la communication. Celle-ci se tourne de plus en plus ver les valeurs environnementales afin d’attirer d’avantage la cible finale : le consommateur.

La bataille sur les aliments pour bébés semble en effet passer par la communication marketing du côté des entreprises productrices, et une communication “par le bas” du côté des associations et de groupes de parents qui utilisent les réseaux sociaux, les newsletters, etc. Ces deux types de communication ont un point commun : leurs campagnes utilisent souvent des thématiques environnementales et soulignent les valeurs liées à la nature pour promouvoir leur action et inciter à la consommation ou au boycott de certains produits. Il s’agit de différentes manières d’utiliser ou interpréter la communication dite environnementale, puisque centrée sur l’environnement et sur la nature.

Un autre élément commun, mobilisé de manières différentes, est le concept de durabilité. Les entreprises productrices affirment que leurs produits respectent la santé de l’environnement et celle de l’Homme. Leur durabilité environnementale est au contraire remise en cause par les associations, qui insistent sur le fait que seuls les aliments faits maison sont durables, à la fois du point de vue environnemental et économique.

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Qu’ils choisissent les petits pots qui promettent des caractéristiques naturelles et saveurs authentiques dans les rayons des pharmacies ou du supermarché, ou qu’ils préfèrent préparer les aliments pour bébé chez soi avec des légumes à “km zéro” et de la viande bio, les parents doivent dans tous les cas savoir qu’ils disposent d’une série de mesures de protection qui leur permettent de faire des choix critiques et informés : la loi, les associations qui s’en font les porte-parole, la recherche universitaire, la valorisation des “bonnes pratiques”…

Finalement, il en faut peu : il suffit d’avoir de la volonté, de rester informés et de consulter des sources diversifiées.

Articlé rédigé par : Silvia Musso

Découvrez l’article original en italien sur le site d’Econte.it

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Acting for Change Tour au Pérou!

Après avoir été à la rencontre de femme entrepreneuses zimbabwéennes, nos voyageuses responsables reprennent la route en direction de l’Amérique du Sud.formation mujeres 2

Premier pays du périple sud américain : le Pérou ! Elsa et Marie sont accueillies et dorlotées par leur famille d’accueil qui va prendre soin de leur grippe et les mettre en relation avec la responsable du programme Mujer Emprende. Ce programme, a été lancé par la municipalité de Lima pour renforcer les capacités des femmes et leur permettre de développer une activité génératrice de revenus. C’est avec eux que Elsa et Marie ont travaillé pendant trois semaines : elles ont été en charge notamment de l’organisation d’une formation marketing et d’un atelier « team building ».

Après trois semaines passées à Lima nos voyageuses responsables se remettent en route destination Cusco : ancienne capitale inca (ndlr Qusqu = « nombril » en Quechua). Pour couper la route (23h de bus !), elles décident de passer une soirée et une journée sur la costa, à Huancachina, une véritable oasis située dans le désert à 310km au Sud de Lima.

Arrivées à Cusco Marie et Elsa reprennent leur tour de rencontre avec les acteurs impliqués dans entrepreneuriat au féminin. boulangerieParmi leurs rencontres, Betty : responsable de la boulangerie « Panaderia El buen pastor » : une boulangerie pas comme les autres qui permet d’offrir le gîte et le couvert, ainsi qu’une éducation à de jeunes filles de zones rurales venues en ville afin de poursuivre leurs études. Un projet social d’économie sociale et solidaire qui à Cusco représente appui pour ces jeunes issues de familles défavorisées, qui ne connaissent personne en villes et qui, sans ce foyer, ne pourraient se permettre de poursuivre des études supérieures. En contrepartie, les jeunes du foyer qui sont aux fourneaux sur un système de roulement en fonction de leurs heures de classe. Les entreprisses qui fournissent les produits de base à la boulangerie donnent régulièrement des cours de cuisine sur une journée ou deux aux jeunes filles, afin que ces dernières soient à même de préparer elles-mêmes tous les produits vendus par la boulangerie.

Après l’incontournable visite du Machu Picchu, Elsa et Marie se rendent visiter une dernière merveille péruvienne : le lac Titicaca. Si grand qu’on croirait la mer (200km de long et environ 8400km²), il se trouve bien à plus de 3800m d’altitude, ce qui en fait le plus haut lac navigable du monde. Ses rives titillent également l’imaginaire et de nombreuses histoires et légendes ancestrales lui sont attachées : la mythologie inca y situe l’origine de la civilisation, et une partie du trésor des incas ainsi qu’une mystérieuse cité y seraient engloutis…

 titicacaPour plus de détails sur le passage d’Acting for Change Tour au Pérou cliquez ici!

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e 25 et 26 octobre EquiTerre vous attend au festival « Changeons d’Art’Gens ! »

Affiche Forum

Les 25 et 26 octobre 2014 EquiTerre prend part à son premier évènement situé à Clermot Ferrand! Rdv à la Maison du Peuple  pour le forum « Changeons d’Art’Gens ! ». Lors de ce forum les initiatives citoyennes de partage et de solidarité clermontoises seront réunies pour valoriser les porteurs de changement.

Pendant deux jours des conférences et des tables rondes seront proposées sur les thèmes de la désargence et de la décroissance.

Un village associatif sera également proposé, avec la présence de divers collectifs et associations : EquiTerre et ses bénévoles vous attendent samedi 25 octobre sur le stand avec le projet « Savons la planète!« 

Venez nombreux découvrir notre association et nos projets!photo 3

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Trouver un wifi en voyage

Nous vous proposons un article très pratique sur comment trouver un wifi en voyage rédigé par nos voyageurs de 30annozero :

« Cela n’a pas toujours été facile, mais jusqu’à présent nous nous en sommes toujours plutôt bien sortis. Trouver un wifi quand on voyage peut s’avérer plus ou moins complexe et nous avons pu nous en rendre compte à mesure que nous avancions dans notre périple.

La plupart du temps nous avons pu avoir accès à des wifis gratuits dans les gares, les aéroports ou les centres commerciaux. D’autres fois nous avons choisi de faire un break dans des cafés, pour pouvoir écrire et communiquer au calme. Quelquefois l’affaire s’est avérée plus délicate, au point de ne pas réussir à nous connecter. Nous vous expliquons ici comment nous avons pu accéder aux réseaux des différentes villes visitées par 30annozero.

wifi en voyage

Espagne

A Barcelone cela a été très facile car il y a des dizaines d’endroits disséminés dans la ville où l’on peut se connecter gratuitement, aussi bien avec un smartphone qu’avec un PC. Notre spot préféré se situe au sein des archives historiques dans le centre historique de Barcelone, où on peut se connecter au frais, à côté d’une jolie fontaine, et l’on peut même s’asseoir sur un petit banc s’il n’y a pas trop de monde.

Dans le métro et le train, nous n’avons pas pu trouvé de connexion alors qu’à bord du bus Alsa qui nous a amené à San Sebastian il y avait un wifi gratuit.

Ce n’était pas la même affaire à San Sebastian: plus difficile de se connecter gratuitement dans la ville et les bars ne disposent pas tous d’une connexion. Par contre nous donnons un bon point pour le centre commercial au centre-ville, le Martin Plaza.

Une ombre au tableau en ce qui concerne l’aéroport de Santander depuis lequel nous avons décollé pour Londres: le wifi est gratuit seulement pour les quinze premières minutes, ce qui est un peu léger pour arriver à faire quelque chose surtout lorsque l’on a 4 heures à attendre pour son vol.

Londres

A Londres on s’attendrait à avoir des connections gratuites un peu partout, et pourtant au contraire, on en cherche plutôt désespérément sans jamais en trouver. Même quand la connexion est établie avec le cloud wifi de la ville, on se retrouve souvent déconnecté, à pester comme un Londonien!

La solution peut se trouver dans certains pubs, où l’on peut prendre une collation à l’Anglaise, au Starbucks ou au “Pain quotidien”, où nous avons trouvé des connections disponibles, bien que l’accès depuis un smartphone soit parfois difficile. Aucun problème à l’aéroport de Gatwick, même si là encore la connexion est limitée: 45 minutes.

Floride

Quand on parle d’Amérique on s’imagine l’abondance, la diversité.. C’est aussi valable pour le wifi! Nous avons trouvé des wifi gratuits dans tous les centres commerciaux et les bars où nous sommes allés dans plusieurs villes, en particulier Orlando. Aucun problème non plus à l’aéroport, et même sans limitation de temps. Chapeau!

Californie

En Californie nous avons fait du couchsurfing, à San Francisco, et nous n’avons pas eu de problèmes à nous connecter depuis les maisons de nos très sympathiques hôtes. De plus, il y a beaucoup de connections disponibles en centre-ville, surtout dans les grands centres commerciaux. Et quand bien même nous avons eu des soucis, nous avons toujours pu surfer au Starbucks, comme ce fût le cas à San Diego où se connecter nous a paru compliqué alors que nous voulions parler à nos familles restées à la maison. A l’aéroport de San Francisco la connexion est excellente, stable et sans limitation, comme à celui de Los Angeles. Au final les meilleures connections dont nous avons pu bénéficier lors de notre voyage aux US, nous les avons trouvé chez Greyhound: que ce soit dans les gares ou dans les bus eux-mêmes. Vraiment excellents.

Australie

En Australie, malgré le décalage horaire et le climat frisquet, il s’avère assez simple de se connecter! A Melbourne nous avons testé quelques bars et avons bénéficié des wifi de nos hôtes (Merci Elliot!), mais nous avons eu une mauvaise surprise à Sydney. Lorsque nous sommes arrivés, nous avons pris une chambre dans un Ibis Budget qui n’avait pas de wifi gratuit mais payant, pour la modique somme de 10 dollars australiens de l’heure! Une chance, à Sydney, entre le Musée d’Art Contemporain, la National Library, la gare centrale, le Victoria Building et autres grands magasins, nous avons finalement pu nous en sortir. »

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Food Sense Tour America del Sur nouveau parrainé par EquiTerre

LOGO VOYAGER AUTREMENTLe projet Voyager Autrement développé par EquiTerre Paris continue d’attirer de nouveaux voyageurs désireux de donner du sens à leur voyage!

Il y a quelque mois Hélène, Maud et Marion nous envoient un mail, il s’en suit un rdv autour d’un café, la convention est signée et l’aventure est lancée : les filles de Food Sense Tour America del Sur sont les dernières parrainées du projet Voyager Autrement!

Logo Food Sense Tour

Venez découvrir le projet Food Sense Tour America del Sur et suivez les préparatifs et les aventures de nos futures voyageuses avec EquiTerre!

 

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Les Nomad’2.0 en Equateur

Voilà, un mois que les Nomad’2.0 sont en Équateur. Ce pays a particulièrement marqué nos voyageurs responsables car même si la population n’est pas aussi accueillante et chaleureuse que la Colombie, l’Équateur c’est cependant une vraie mine d’or en termes d’activités, d’éco-tourisme, de treks et d’associations écologiques !

Quito, capitale du pays, a surpris nos baroudeurs grâce à son centre historique riche en histoire et en bâtisses somptueuses. L’église principale ressemble à celle de Nôtre Dame de Paris, tant l’architecture et la finition sont de qualités.

Entre trekking et ballades en pleine nature, Alex et Leatitia découvrent la culture originaire du pays à travers leur passage à Otavalo, ville reconnue pour son marché artisanal indigène. A deux heures de routes de Quito, la ville est vivement rythmée par les touristes qui viennent le samedi au marché.

Pour la première fois de leur voyage, les Nomad’2.0 ont tenté l’expérience du Couchsurfing ou ils ont rencontré Andrea, leur hôte, avec qui ils ont passé beaucoup de temps d’échange sur sa culture et son style de vie.

Pendant le passage en Equateur, Alexandre s’est lancé dans une folle aventure : l’ascension du Cotopaxi. Une journée extraordinaire mais épuisante moralement et physiquement. 7h de montée durant la nuit, armé d’une pioche, un bâton et d’une lampe frontale pour affronter un monument de 5 897 mètres d’altitude. Les premiers remparts annoncent la couleur, c’est raide et glissant. Après 2h de montée, il enfile les crampons et amorce la partie glacée. Dans la peau d’un alpiniste, il est content de s’apercevoir qu’il ne ressent pas les symptômes de l’altitude. Les dernières heures sont cependant éreintantes. Au sommet, la sensation est extraordinaire, la vue aussi. 15 minutes d’arrêt pour profiter du soleil levant, malgré le fait que la moitié des lunettes soit gelés. Il ressent le sentiment du devoir accompli, la pression et le stress se relâchent. Le froid prend le dessus, ils redescendent pendant 3 heures pour regagner le véhicule.

Alex et Leatitia testent également un éco-lodge « El refugio de los aves », à Montanitas. La côte est très prisée par les touristes qui s’y rendent faire du surf et la fête … chaque soir ! Trop de monde, trop de musique, trop de folie pour nos voyageurs à la recherche d’un voyage différent. Cependant, l’éco-lodge, se revèle être un véritable havre de paix, de plus José le propriétaire est très ouvert sur la question du développement de l’éco-tourisme et l’éco-responsabilité. Les soirées au coin du feu, à jouer de la guitare, chanter et boire quelques bières, valent toute l’atmosphère bruyante du centre. Cette expérience permet à nos jeunes parrainés d’apprendre pendant quelques jours les différentes actions et construction d’un éco-lodge !

Étape incontournable les Nomad’2.0 ne peuvent ne pas s’arrêter aux îles Galapagos : ils se donnent ainsi une semaine pour découvrir sans doute la faune sauvage la plus protégée de la planète. 95% des locaux vivant du tourisme, la nature est respectée et protégé. Ils découvrent ainsi LA fameuse Tortue des Galapagos, ce dinosaure de 400 kilos qui inspirera à Charles Darwin les bases de sa théorie de l’évolution, plongent et nagent au milieu des requins à pointes blanches, des raies, rencontrent des dauphins, et bien autre encore!

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Pour en savoir plus sur les aventures des Nomad’2.0 visitez leur site internet : http://nomad2-0.com!

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Nomad2.0 en Colombie!

Une fois quitté le Paname, les Nomads s’envolent destination la Colombie.

Comme pour de nombreux voyageurs qui partent en vadrouille dans le monde, Alex et Leatitia se trouvent confrontés à une constante : les préjugés sur les pays.

En effet, beaucoup d’énigmes gravitent autour de ce pays : vue d’Europe, la Colombie symbolise le trafic de cocaïne et la menace des farcs. En réalité … il n’en est rien … Aucun problèmes à l’horizon pendant près d’un mois, et même mieux, les gens sont très soucieux du bien être des touristes et sont toujours souriant à l’idée d’aider nos voyageurs. Il faut évidemment éviter certaines zones du pays, notamment la frontière avec le Panama, mais les locaux se chargeront eux même de prévenir Alex et Leatitia d’où ne pas aller.

Si il est très important de se renseigner sur la sécurité des pays où l’on se rend avant le départ, il faut également garder l’esprit ouvert et savoir faire la différence entre préjugé culturel et information.

Nos voyageurs vivent la ville de Santa Martha au rythme des matchs de la coupe du monde.

Après quelque visite culturelles et l’expérience coupe-souffle du parapente, Alex et Leatitia font leur première de couchsurfing. L’expérience est eux enrichissante et de partage, de plus les colombiens semblent adorer les crêpes bretonnes!

 

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