Ruche de Chamalières : le 27 avril inauguration et première distribution !

Image EquiTerre V3C’est tout nouveau, tout beau, tout chaud : EquiTerre France ouvre sa ruche à Chamalières. Désormais, tous les lundis, les habitants de la commune de Chamalières et de ses environs pourront se régaler de bons produits fermiers locaux.

Après plusieurs mois de travail intense, les bénévoles et les étudiants en projet collectif d’EquiTerre ont le plaisir de vous annoncer l’ouverture de la Ruche qui dit Oui de Chamalières!

La Ruche qui dit Oui ! est un outil de vente en ligne créé en septembre 2011 qui logo ruchepermet d’adapter les circuits courts aux besoins d’un consommateur responsable connecté et pressé.

Le principe est simple : vous commandez vos articles en ligne et à la fin de votre commande vous recevez un numéro de commande à apporter avec vous le jour de la distribution. Lors du rendez-vous hebdomadaire, les producteurs apportent les commandes et prennent le temps d’échanger sur leurs produits et leurs activités avec le consommateur.

Derrière la ruche de Chamalières, EquiTerre France se charge de trouver de nouveaux producteurs qui produisent dans une démarche durable, d’animer le réseau, organiser les distributions et proposer régulièrement des animations autour de la consommation responsable. Résultat : tout le monde y gagne !

 

A partir du 27 avril 2015 l’association EquiTerre France, responsable de la Ruche accueillera tous les gourmands au Cook’up Café : 6 rue Amélie Murat à Chamalières.

PlanPour calculer votre itinéraire cliquez ici

Les distributions auront lieux le lundi de 16h45 à 18h30.

 

Dans un souci d’éthique, EquiTerre France ne sélectionne que des producteurs qui travaillent dans une démarche durable (bio, raisonné, en conversion, biodynamique, respect de l’animal, …). De nombreux producteurs ont déjà reçu EquiTerre sur leurs exploitations afin de comprendre leurs métiers, leurs attentes et leurs difficultés. Ainsi, notre ruche peut d’ores et déjà proposer des fruits, légumes, viandes, poissons, pains et même des cosmétiques à base de lait de jument !

 fotoSource : Thomas Louapre

Manger mieux, manger juste, l’idée vous tente ? Les inscriptions à la Ruche de Chamalières sont ouvertes. Il suffit de cliquer sur www.laruchequiditoui.com/ et de se laisser guider. N’hésitez pas à venir nous rencontrer, à échanger et surtout à goûter. La Ruche qui dit Oui ! se découvre avant tout par le menu.

Venez découvrir la Ruche de Chamalières animée par EquiTerre France lors de son inauguration qui aura lieu le 27 avril de 16h30 à 18h30 au Cook’up café situé au 6 rue Amélie Murat à Chamalières !

Devant flyer basse qualité VF

Vous souhaitez intégrer le projet et nous aider dans l’animation de la ruche ?

Ecrivez-nous : contact@equiterre.eu

ou venez rencontrer lors de notre

distribution hebdomadaire

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Adopter la poule « attitude »!

Alexandre est président de l’association EquiTerre France et depuis bientôt 6 mois lui et sa femme ont adopté la « poule attitude ». Allons découvrir avec eux comment se passe cette colocation :

Int. : Pourquoi avez-vous décidé d’adopter des poules ?

IMG_20150326_121832A : Ayant grandi en banlieue parisienne j’ai toujours recherché le lien avec la nature, ensuite un voyage en Australie en immersion totale pendant un an m’a convaincu : un jour tôt ou tard j’aurai des poules ! Pourquoi ? C’est simple : c’est un animal très attachant qui non seulement se nourrit de nos déchets organiques mais en plus il nous remercie en nous fournissant gratuitement des œufs et en fertilisant notre jardin. Il s’agit d’un geste responsable à la portée de tous ceux qui ont la chance d’avoir un petit bout de jardin.

Int : Comment ça se passe alors pour adopter une poule ?

A : Et bien au départ j’étais un peu perdu : je suis citadin et je n’avais pas l’habitude, je ne savais pas par où commencer. Finalement, c’est très simple : il suffit d’avoir un petit carré de jardin pour que les gallinettes puissent se dégourdir les pattes et un poulailler pour qu’elles puissent rentrer dormir, se tenir au chaud pendant l’hiver et se protéger de la chaleur en été. Cela leur permet aussi d’être protégées des prédateurs pendant la nuit. Il faut aussi penser à isoler le potager si vous en avez un (je vous garantis que si vous les laissez s’y approcher elles vont tout dévorer sans aucune pitié !) et le tour est joué ! Ah oui, après il faut aller acheter les poulettes, et pour ça si vous n’y connaissez rien comme moi il est mieux de faire aider par des spécialistes : dans mon cas la personne à qui on a acheté le poulailler en seconde main nous a conseillés un éleveur chez qui eux aussi achètent les poules. Elles n’étaient pas encore arrivées que déjà elles nous faisaient tisser des liens !

Int : A-t-on le droit d’avoir une poule en ville ?

A : Oui bien sûr! Je vous dirais même plus : lorsque j’étais en train de déménager en Auvergne pour mon travail j’ai appris que la commune où je résidais précédemment était en train de mettre en place un projet de revalorisation de déchets : donner un poulailler et quelques poules en fonction des membres du foyer afin de réduire la production de déchets organiques ! J’ai alors cherché un logement doté d’un petit jardin afin de pouvoir accueillir mes nouveaux animaux de compagnie (la poule est considérée comme un animal de compagnie au même titre que les chiens et les chats ! Le coq lui par contre non, il n’a pas le droit d’être en ville car il provoque trop de nuisances sonores…).

Il s’agit d’une initiative qui séduit de plus en plus de communes en France soucieuses de réduire durablement et écologiquement le traitement des déchets organiques, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre mairie pour savoir si elle adhère à ce concept ! Cependant, bien que cette tendance soit en développement, il faut tout de même penser à vérifier auprès de la mairie qu’aucun arrêté municipal n’interdise de posséder des poules.

Int : Combien coûte une poule ?

A : Comme pour tout animal, il existe des poules de différentes races et les prix peuvent être variables, dans mon cas j’ai pris 3 poules pondeuses de 3 races différentes à un prix d’environ 10 euros chacune.

Après il faut également investir dans l’achat d’un bon poulailler pour garantir la sécurité et le bien-être des animaux : comptez entre 150 et 200 euros environs. Il est important de compléter avec un abreuvoir et un mangeoire, ici aussi les prix sont variés en fonction des options proposées, il faut compter entre 30 et 40 euros pour les deux environ.

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Après, si il est vrai que les gallinacés raffolent de nos déchets ménagers (elles sont omnivores et mangent donc presque tout ce que nous mangeons) pour leur garantir une alimentation saine il est important de leur fournir quotidiennement des graines et des compléments divers (comme des coquilles d’huitres par exemple). En effet, la seule alimentation aux ordures ménagère peut être très nocive pour les poules car notre alimentation est souvent bien trop riche en gras et sucres pour elles et risque de les faire tomber malade.

Enfin, toujours pour leur bien-être il faut également les vermifuger une fois par an environ, ici aussi il est préférable d’utiliser des moyens naturels préventifs comme l’ail, le romarin, le thym etc…

Int : Quels sont les avantages d’avoir des poules ?

Tout d’abord on redécouvre l’essentiel : c’est la magie d’avoir des œufs frais tous les jours ou presque ! IMG_20150304_113248Au-delà de la qualité, c’est aussi une considérable économie et notamment pour ceux qui aiment cuisiner comme nous. Faire un gâteau ou manger une omelette préparés avec les œufs de ses propres poules, ça n’a pas de prix !

Ensuite, la traçabilité du circuit de production : on connait leur alimentation, leurs conditions de vie et nous savons qu’elles sont heureuses et qu’elles fournissent des œufs de qualité. Cela permet de recréer des liens avec la terre et redonner sa juste place à l’animal.

De plus, nous n’avons pas de composteur et depuis que nous avons des poules à la maison nous avons vu nos poubelle se diviser par 2 : en effet, lorsqu’on cuisine on produit forcément des déchets (épluchures, trognons, parties abîmées,..). Lorsqu’on a des poules et qu’on commence à trier les déchets pour les nourrir on se rend compte de la quantité de déchets alimentaires que nous produisons et une forte prise de conscience s’opère : ces éléments cessent d’être des déchets pour se transformer en nourriture. Niveau environnement donc, avoir des poules permet de réduire considérablement notre empreinte déchets, et ça de plus en plus de communes l’ont compris !

Elles se chargent aussi de désherber le jardin et de nous débarrasser des nuisibles tels que limaces, escargots et autres insectes qui ravagent les plantes. Nous n’avons même plus à passer la tondeuse ! Elles nous fournissent également un engrais naturel pour le potager car leurs fientes sont très riches.

Enfin, nos poules nous ont permis de socialiser et de connaître nos voisins : en effet, ces derniers ont commencé petit à petit à nous laisser des sacs avec leurs déchets organiques avec des petits mots, s’en est suivi : des poulettes bien en chair, des coups de téléphones, des dons d’œufs pour les remercier, des apéros, du troc œuf- produits du jardin et des échanges de services comme par exemple lorsqu’ils viennent s’occuper des poules lorsqu’on part en vacances et qu’ils récupèrent les œufs ! Nous ne connaissions personne en arrivant en Auvergne et maintenant nous connaissons presque tous nos voisins !

Int : Il n’y a donc que des avantages à adopter des poules ?

A : Je vous mentirais si je vous disais cela, comme toujours il faut semer et mériter ce qu’on récolte. Avoir des poules, comme pour tout autre animal, comporte des responsabilités : il faut aller leur ouvrir et les nourrir tous les jours, peu importe la météo.

Il faut également les protéger des attaques des prédateurs, surtout à la campagne, comme chats, renards, fouines,… ainsi il faut penser à les enfermer tous les soirs pour qu’elles soient en sécurité.

Afin de les garder en santé il faut également s’occuper de nettoyer régulièrement le poulailler afin d’éviter les odeurs et les maladies. Elles ont également besoin de place pour bouger et éviter de tomber malade, prévoyez minimum 5m² par poule, plus elles auront de place plus elles seront heureuses.

Enfin, elles adorent gratter le sol pour se régaler avec des vers de terre, ainsi il faut être prêts à sacrifier une partie de son jardin qu’elles vont constamment tailler et retourner. Et surtout, il ne faut pas faire l’erreur de les laisser se promener dans le potager car elles vont tout dévorer des légumes aux pousses jusqu’aux graines si c’est la période des semis !

Int : Bilan quand même positif à la fin, non ?

A Absolument. Au-delà de tous les avantages et inconvénients, elles restent des animaux et sont dotées d’un propre caractère et on s’y attache bien plus vite qu’on le croit. Elles sont drôles à regarder et incarnent toute la fragilité de la vie, un peu comme des enfants mais un peu plus bêtes, mais on les aime comme elles sont finalement.

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Bientôt l’ouverture de la Ruche de Chamalières !

Avec les beaux jours, arrivent aussi les nouveautés ! Après de longues et exténuantes recherches, EquiTerre a finalement trouvé un local à Chamalières pour assurer les distributions de sa ruche !

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Il s’agit du Cook’Up café, géré par Stéphane Capitan un homme dynamique et ouvert aux nouveaux défis. Il nous a accordé une grande attention et a tout de suite décidé de participer à l’aventure de la Ruche qui dit Oui avec EquiTerre !

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En parallèle, nous avons commencé à chercher des producteurs en nous rendant sur les marchés. Nombreux d’entre eux ont été intrigués et ont voulu en savoir plus. De nombreux appels pour et rdv ont suivi afin d’expliquer aux producteurs le concept de la Ruche qui dit Oui ! et l’identité que nous souhaitions donner à la Ruche de Chamalières.

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DSCN9695Ensuite, les baroudeurs d’EquiTerre sont partis, carnet et appareil photo à la main, rendre visite aux producteurs intéressés sur leurs exploitations.

Nous avons beaucoup appris et passé de bons moments avec les producteurs mais aussi pris conscience de la DSCN9733dureté de leur travail et des difficultés qu’ils affrontent chaque jour.

Dégustation obligée pour le « contrôle qualité », nous avons hâte de vous proposer leur produits !

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Mais qui se cache derrière la Ruche d’EquiTerre ?

Ils n’ont pas peur de la boue et des km, ils sont souriants, ils sont passionnés et ont de l’imagination : c’est les bénévoles et les étudiants en projet collectifs d’EquiTerre France !

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Ils travaillent dur pour permettre à la Ruche de voir le jour et ne font pas d’économie sur la créativité !

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DSC_0032[1]Afin de financer les déplacements dans les exploitations et la future inauguration ils ont (littéralement !) mis la main à la pâte pour organiser deux ventes de gâteaux dans l’université Blaise Pascal. En proposant des crêpes et autres douceurs bio et équitables, ils ont pu échanger sur les circuits courts et les conditions des producteurs avec les étudiants et récolter des fonds.

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Mais ils ne s’arrentent pas là : dès la semaine prochaine ils vont quadriller les rues de Chamalières afin de publiciser l’ouverture de notre future Ruche et trouver des consommateurs responsables à la recherche de produits et producteurs locaux responsables.

Les inscriptions à la Ruche de Chamalières sont déjà ouvertes. Il suffit de cliquer sur www.laruchequiditoui.com/ et de se laisser guider.

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 Vous souhaitez intégrer et nous aider dans l’animation de la ruche ?

Ecrivez-nous : contact@equiterre.eu

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La Fourch’ette Voyageuse au Vietnam!

Après l’Inde, notre couple de globe-trotteurs : Anaëlle et Romain est arrivé en février au Vietnam pour la suite de son périple avec le projet « La Fourchette Voyageuse ». Ils y découvrent une ville intense et moderne, Ho Chi Minh, et se délectent de la délicieuse street food bon marché qui peuple ses rues.

Afin de poursuivre leur découverte de la production alimentaire, les deux voyageurs s’intéressent à la production de fève de cacao et à sa transformation pour arriver au stade ultime : le chocolat. A Ho Chi Minh, ils partent à la rencontre de la fabrique de chocolat Marou, qui a commencé ses activités il y a 4 ans de manière très artisanale : les machines ont été construites par Samuel et Vincent, deux français qui ont fondé l’entreprise, avec l’aide d’agronomes vietnamiens. Après avoir décrypté les secrets de la fabrication du chocolat, Romain et Anaëlle partent à la rencontre des producteurs de cacao. Ils y apprennent que 70% des producteurs de cacaos n’utilisent pas de pesticides et préfèrent les associations de culture pour booster leur production et protéger leurs arbres des maladies (cacao-café ou cacao-arbres fruitiers, par exemple). La culture des fèves de cacao demande une prise de risque et un investissement de la part des agriculteurs : prix fluctuants, productivité relativement faible, menace de maladie qui déciment les arbres… Les aléas sont nombreux !

Fèves cacaoLe nouvel an lunaire vient ensuite compliquer les plans du couple : alors que la plupart des Vietnamiens se rendent dans leur famille pour célébrer le Tèt, les prix des moyens de transports s’envolent ! Respecter le budget dans de telles conditions est difficile, et il leur faudra peut-être adapter leurs plans à cette situation financière moins facile que prévue.

Après un passage dans le delta du Mékong à la découverte des rizières, Anaëlle et Romain se rendent sur l’île de Phu Quoc. Les plages paradisiaques portent la marque du passage au tourisme de masse, et les grands hôtels commencent à défigurer la côte… Mais ils vont plutôt séjourner dans une petite guest-house tenue par une Vietnamienne et participent à l’élaboration des repas typiques de l’île : riz, poissons et crevettes… De quoi les convaincre de continuer à Voyager Autrement !

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Nomad2.0 au Paraguay

A Noël les Nomads décident de se ressourcer et de faire une surprise à leur proches et rentrent passer les fêtes en familles. Après 3 semaines, il est temps de repartir en Amérique du Sud, excités et tristes à la fois.

20 heures de trajet plus tard ils arrivent à Asunción au Paraguay où ils souhaitent découvrir réellement ce pays, encore mal connu des touristes, souvent réfractaires à le visiter par manque d’activités.

Premier constat pour nos voyageurs : Asunción n’est pas une ville très attractive et excepté des chaînes de restauration internationale, la nourriture n’est absoluement pas variée et est grasse. Ici, on mange seulement des sandwiches, des empanadas, des hamburgers … bref pas de folies culinaires ici. Mais les gens sont très accueillants, avenants et souriants. Alex et Leatitia ressentent une ressemblance avec la Colombie : où même s’il est présent, on ne se sent pas en danger, ni de tension entre eux et les locaux.

Nos voyageurs prennent le temps de découvrir l’histoire et la culture de ce pays et remarquent que différemment que dans les autres pays d’Amérique du Sud où les richesses sont concentrées dans les grandes villes, au Paraguay les petites villes de campagne comme San Bernardino, sont composés de belles maisons, parfois luxueuse en brique. Ici, les gens travaillent dans la capitale et investissent dans les petites villes pour passer des weekend en campagne. Un système de vie ressemblant un peu à l’Europe.

Attirés par un carnaval, les Nomad2.0 partent pour pour Encarnacion. Ici une parade de 6 heures, haute en couleurs et rythmée par une musique brésilienne les éblouit.

Bien que le Paraguay n’offre pas beaucoup d’activités et que les villes ne soient pas très attractives, nos voyageurs découvrent une ambiance tout à fait différent : les gens se révèlent parmi les plus sympathiques et curieux de leur voyage. Ainsi, en bons voyageurs responsables, les Nomad2.0 prennent plaisir à découvrir un pays méconnu par le tourisme de masse.

 

 

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On parle d’EquiTerre France sur le site du REFEDD!

Notre partenaire REFEDD vient de publier un article sur EquiTerre France sur son site internet!

Venez le découvrir le portraitd’EquiTerre France et les projets en cours en cliquant ici! 🙂

 

 

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Les Nomad’2.0 épisode 9 : le Brésil!

NBrésil _2os amoureux de l’aventure, les Nomad’2.0 ont passé près de 3 mois au Brésil. A visiter et vivre au rythme d’un pays unique au monde.

Première étape au Brésil : Sao Paulo, poumon économique du pays pour retrouver un copain de voyage rencontré au Pérou. Ils découvrent que la ville s’est forgée une emprunte culturelle forte. Les musées foisonnent, la grande cathédrale de Sé surplombe le centre ville, les quartiers underground animés chaque soir avec des « lives » musicaux d’artistes divers et variés. La découverte de cette ville, n’aurait pas été la même sans les brésiliens.

Brésil _1Ensuite, ils partent pour Rio de Janeiro en direction d’une merveille du monde moderne : « La statue du Christ Rédempteur à Corcovado ». De plus de 38 mètres de haut, elle surplombe magistralement la ville. Malgré la masse de touristes au pied de la statue, on apprécie vraiment le site avec une vue à 360° incroyable sur Rio de Janeiro

Ensuite, ils partent un peu plus au Nord du Brésil, pour Salvador de Bahia. Là, où tout à commencé. La conquête, les esclaves, la capoeira, les spécialités culinaires aux saveurs d’Afrique… Ils découvrent un charme très particulier à cette ville. Celle-ci est séparée en deux, quartiers riches et touristiques et quartiers pauvres. 4 jours suffisent à découvrir la ville, il est temps de se rendre à Iguaçu.

Comme pour de nombreux voyageurs en vadrouille pour de longues durées, Alex et Leatitia décident de s’arrêter pour travailler pour effacer les grosses dépenses précédentes.

Pendant 3 mois, ils ont découvert différentes facettes de ce pays « continent ». Chacune d’entre elles les a touché et a délivré un sentiment très particulier. Ils nous confessent : « Ce pays est définitivement particulier ».

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Food Sense Tour America del Sur c’est parti!

Le 12 janvier Hélène, Maud et Marion s’envolent de Paris destination Santiago.

SantiagoAu menu : parcourir l’Amérique du Sud à la rencontre des entrepreneurs sociaux alimentaires pour découvrir des innovations sociales et environnementales dans le secteur alimentaire, donner un coup de mains à ces entrepreneurs, sensibiliser la population à l’alimentation responsable et à l’entrepreneuriat social et développer et animer des communautés locales de Change Makers.Sense drink santiago

Beaucoup de choses à faire donc pour nos 3 voyageuses! Ainsi, quelque jours à peine après leur arrivée au Chili elles démarrent leur projet en participant au premier SenseDrink (des rencontres informelles autour d’un verre qui rassemblent intéressés ou curieux de l’entrepreneuriat social organisé par MakeSense ) du tour.

Préparation du MerkenQuelque découverte culinaire chilienne et 8h30 de bus plus tard, nos 3 voyageuses parrainées dans le cadre du projet Voyager Autrement arrivent à Temuco pour travailler sur la première initiative sociale du Food Sense Tour : la Coopérative Ankün. Elle regroupe des femmes mapuche – communautés indigènes chiliennes – productrices de merkén, un condiment à base de piment. La mission des filles du Food Sense Tour América del Sur sera celui de les aider sur leur stratégie de communication en réalisant une vidéo de présentation et de valorisation de leur action et du merkén.

Ainsi, elles passent quelque jour dans la famille de Ginette, la responsable de la coopérative, avant de se mettre au travail sur la vidéo de présentation de la coopérative Ankün.

L’aventure du Food Sense Tour commence donc bien pour nos voyageuse qui font déjà de nombreuses rencontres humaines touchantes et riches de sens.

Découvrez le résumé en vidéo du passage du Food Sense Tour au Chili  en cliquant ici!

Suivez-nous pour découvrir les prochains pas du Food Sense Tour América del Sur!

 

 

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EquiTerre France à Radio Campus Clermont Ferrand 93.3!

Ce dimanche 1er février, EquiTerre France était l’invité de l’émission « Green watching » de Radio Campus Clermont Ferrand 93.3!

Radio Campus

 

Entre une chronique et une chanson, nous avons pu présenter EquiTerre France et ses projets en cours à Clermont Ferrand!

 

Retrouvez le podcast de l’émission en cliquant ici : http://www.campus-clermont.net/onair/podcast/player/?date=2015-02-01&time=17

 

 

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Au Repaire d’EquiTerre

Depuis octobre 2014 EquiTerre France travaille au développement du projet « Au Repaire d’EquiTerre ».

Il s’agit de mettre en place un lieu alternatif au modèle de consommation dominant dont l’objectif sera de rendre la consommation responsable accessible à tous et de permettre à chacun de s’engager concrètement dans une démarche de changement.

EquiTerre France est convaincue que la clé du changement ne réside pas dans l’adoption d’une solution mais d’un ensemble de solutions dont la boutique « Au Repaire d’EquiTerre » devient sa manifestation physique. Ainsi, agir ensemble, en soutenant notamment les porteurs de projet et les alternatives à la consommation de masse, est le concept au cœur de ce lieu.

La boutique « Au Repaire d’EquiTerre » est donc un lieu où tout le monde peut, sans distinction d’origine sociale, économique et culturelle, passer à l’action et devenir un consommateur responsable.

Concrètement la boutique va :

  • Sensibiliser sur les alternatives de consommation responsable : pour pallier au manque ou à la difficulté d’accès aux informations;
  • Soutenir les filières responsables et les proposer au grand public : pour répondre aux difficultés à trouver les produits/services;
  • Proposer des pratiques et filières alternatives au circuit monétaire classique.

Vous souhaitez

Rejoignez l’équipe d’EquiTerre France !

Contactez-nous en nous écrivant à contact@equiterre.eu

 

 

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